- Formation de notre System Solaire. -
Le détail des planètes se trouve sur une autre page;
Notre Système solaire avec son étoile ...(Soleil)
Notre Système solaire est composé, d'une "étoile" le Soleil. Par
ordre de distance croissante à celui-ci, se trouve 4 planètes telluriques
internes (Mercure, Vénus, la Terre et Mars), d'une ceinture d'astéroïdes
composée de petits corps rocheux, et de 4 autres planètes, des géantes
externes.
Il y a deux géantes gazeuses ce sont Jupiter et Saturne, et deux planètes
géantes de glaces que sont Uranus et Neptune) et de la ceinture de Kuiper,
composée elle-même d’objets glacés. L'héliopause, limite magnétique du Système
solaire, est définie par l'arrêt des vents solaires face au vent galactique.
Bien au-delà se trouve le nuage d'Oort, sphère d’objets épars.
La limite
gravitationnelle du Système solaire se situe bien plus loin encore, jusqu'à 1 ou
2 années-lumière du Soleil.
Toutes les planètes du Système solaire possèdent des satellites en
orbite, tandis que chacune des quatre planètes externes est en outre entourée
d’un système d'anneaux de poussière et d’autres particules.

La question n'est toujours pas tranchée, près de quarante ans après la première
découverte du mystérieux radioélément dans les reliques de notre système.
Certaines données venues des météorites peuvent nous faire penser que
notre Soleil a peut-être vu le jour dans des circonstances particulières.
Tout a démarré par des poussières d'étoiles disséminées dans une région de la
Voie lactée. Une gigantesque nébuleuse qui, il y a 4,56 milliards d'années,
s'est effondrée sur elle-même, formant un globe de plus en plus dense et chaud.
Jusqu'à ce que, en son centre, la température franchisse le seuil des 15
millions de degrés, à partir duquel se déclenchent les réactions de fusion
nucléaire.
Le Soleil était né !
Le scénario actuel de formation des étoiles (et de notre soleil) de faible masse
et de masse intermédiaire jusqu'à quelques masses solaires, soit la grande
majorité des étoiles est schématiquement représenté sur la
figure 1.
Une nébuleuse se contracte
gravitationnellement et se fragmente pour donner des cœurs protostellaires ,
fig 2.
Dans ceux-ci, se forme au centre une étoile qui grossit par accrétion de la
matière environnante; un disque d'accrétion et une enveloppe circumstellaire
accompagnent cette étoile. L'accrétion est accompagnée d'éjection d'une partie
significative de la matière chutant sur l'étoile sous la forme de jets
d'éjection polaires fig 3.
Dans le disque
d'accrétion se forment des corps par agrégation de poussière appelés
planétésimaux. Une fois atteinte une masse critique, ces planétésimaux se
mettent à leur tour à accrétés la matière environnante pour former des planètes fig
4. L'accrétion sur l'étoile et les planètes ainsi que l'éjection
finissent par épuiser la matière présente autour de l'étoile : celle-ci est
alors « nue » et entourée d'un système planétaire.

C’est dans les nébuleuses qu’apparaissent les étoiles. Une nébuleuse est
constituée principalement de gaz et de poussières et peut s’étendre sur
plusieurs dizaines ou centaines d’années-lumière. Il existe des nébuleuses très
connues des astronomes, telles que la nébuleuse d’Orion et la nébuleuse de la
Carène.
I y a
environ 4,6 milliards d’années avant n
otre ère. À la place du système
solaire actuel se trouvait une nébuleuse gigantesque. (ici a gauche,
c'est celle de l'aigle) À l’intérieur de cette nébuleuse, un incroyable
spectacle est en train de se produire :tout se heurte, se bouscule et
refroidi. Un nuage froid extrêmement dense, composé d’hydrogène et d’hélium,
tourne sur lui-même. De plus en plus vite. Cette extrême vélocité finit par le
faire s’effondrer et s’aplatir sous l’effet de la gravitation. Il se tasse de
plus en plus et sa température se met à grimper d’une façon inimaginable. Tous
les débris de matière se trouvant à proximité sont attirés vers le nuage.
Au centre de ces nuages, une zone ultra-compacte se dessine et finit par donner
naissance à plusieurs protoétoiles. Notre Soleil a suivi ce model.
Cette zone centrale attire de plus en plus de matière qui vient s’y
agréger et Une protoétoile prend naissance en prenant de plus en plus de masse
et devient de plus en plus chaude.
Ce processus va durer environ cinquante millions d’années, jusqu’à ce que la
température soit si élevée (15 millions de degrés), que des réactions
thermonucléaires vont se mettre en route, engendrant la fusion de l’hydrogène.
Ces réactions produisent un dégagement d’énergie colossal.Notre protoétoile
vient de s’allumer pour la première fois de son existence ! Plusieurs centaines
de milliers d’années après ce premier allumage, notre étoile est enfin née. Et
depuis, son hydrogène ne cesse de brûler. Et il brûlera encore durant 5
milliards d’années...
À ce stade de son existence, elle est encore assez
instable, et éjecte une grande partie d’hélium et d’hydrogène. Pour le moment
elle est seule, aucune planète n’existe encore pour l’accompagner.
Voici la
suite expliquée en image. Notre System Solaire est né .

Ci dessous: Les Piliers créant une étoile de la nébuleuse aigle.

Voici un exemple réel d'une formation planétaire.
Les images de Visir (à gauche) ont révélé un disque étendu d'un rayon d'au
moins 370 unités astronomiques à un stade primaire d'évolution. Ce disque, de
géométrie très particulière, n'est pas plat, mais s'évase régulièrement lorsque
l'on s'éloigne de l'étoile, pour atteindre une épaisseur de 360 unités
astronomiques.
C'est la première fois qu'une telle structure, prédite par certains modèles,
est directement mise en évidence autour d'une étoile massive. Dans une telle
géométrie, tout point de la surface du disque reçoit la lumière de l'étoile.
Cette lumière est absorbée par les poussières à la surface du disque ; celles-ci
maintiennent donc le disque relativement « chaud » loin de l'étoile.
Il
s'agit d'un bel exemple de disque protoplanétaire puisqu'il contient
suffisamment de matière pour que des planètes puissent se former. Celui-ci va
faire l'objet de multiples campagnes d'observations, notamment pour « zoomer »
sur les zones les plus internes du disque, plus denses, où des embryons de
planètes existent peut-être. déjà.

- Notre étoile (Soleil)-

Le Soleil fait partie d'un système stellaire d'environ 140
milliards d'étoiles : C'est notre voie lactée,
dans notre galaxie. La plupart sont
concentrées dans une région en forme de disque délimitée par des bras qui se
répartissent en spirale à partir d'un noyau central.
Le Soleil occupe une position périphérique à 28 000 années-lumière du
centre, autour duquel il tourne à une vitesse de 225 km/s. Il effectue une
révolution en 250 millions années.
Le Soleil est seul et n'appartient pas à un système binaire.
Il est l'étoile centrale de notre système planétaire, autour duquel tournent,
dans l'état actuel de nos connaissances, 8 planètes, 5 planètes naines et des
millions d'astéroïdes.
(en cours de mise a jour a venir)
Le Soleil est
l'objet le plus gros du Système Solaire. Il contient plus de 99.8% de la masse
totale du Système Solaire.
Aujourd'hui, la composition chimique du Soleil est de 75% d'hydrogène et 25%
d'hélium en masse (92.1% d'hydrogène et 7.8% d'hélium en nombre d'atomes) ; il
contient également quelques métaux (0.1%). Les conditions au cœur du Soleil
sont extrêmes :14 000 000 K, et la pression est de 2850 millions d'atmosphères.
-Toutes ces valeurs permettent de dire que le Soleil est constitué d'un gaz
ionisé. Cet astre est d'une grande importance pour l'homme et sa vie.
Grâce à la quantité énorme d'énergie et à l'émission d'un flux de particules
accélérées (protons, électrons, ions) , il a permis la vie et la photosynthèse.
L'énergie dégagée par le Soleil est de 3.86e33
ergs/seconde ou 386 millions de mégawatts. Elle est produite par une fusion
nucléaire.
Chaque seconde, 700 000 000 de tonnes d'hydrogène sont converties en
695 000 000 de tonnes d'hélium et 5 000 000 de tonnes (3.86e33 ergs) d'énergie
sous forme de rayon gamma.
Le Soleil, est une étoile naine jaune. Lorsqu'il aura 12 milliards d'années, sa
surface externe s'étendra au-delà de l'orbite actuelle de la Terre ou davantage
: il se transformera en une géante rouge, légèrement plus froide en surface
qu'actuellement, mais 10 000 fois plus brillante en raison de sa taille
gigantesque.
Le Soleil demeurera une géante rouge, brûlant l'hélium dans son
noyau, pendant un demi-milliard d'années seulement : sa masse n'est pas
suffisante pour qu'il puisse traverser les cycles successifs d'une combustion
nucléaire ou d'une explosion cataclysmique, comme cela se produit pour certaines
étoiles.
Le Soleil est aujourd'hui vieux d'environ 4,6
milliards d'années. Il s'est formé par l'effondrement gravitationnel d'une
nébuleuse sur elle-même. Il recèle assez d'hydrogène dans son noyau pour que la
réaction nucléaire dure encore 7,6 milliards d'années. Lorsque le Soleil aura
épuisé ses réserves d'hydrogène, il changera de structure.
Après le stade de géante rouge, les couches externes seront éjectées dans
l'espace et donneront naissance à une nébuleuse planétaire. Puis le noyau
résiduel du Soleil s'effondrera pour former une naine blanche, petite étoile de
la taille de la Terre environ.
Enfin il se refroidira lentement pendant plusieurs milliards d'années et
deviendra une naine noire.
Au centre du Soleil se trouve le noyau où ont lieu les réactions
thermonucléaires. La température est de 14 000 000 K et la pression de 150x109.
Le noyau mesure 1/4 du rayon du Soleil. Toute la chaleur émise par le Soleil
provient de cette zone.
La zone de radiation ou zone radiative se situe approximativement entre 0.25 et
0.7 rayon solaire. La température est de 2 000 000 K. Dans cette zone, il n'y a
pas de convection thermique.
La tachocline est une couche épaisse d'environ 3
000 kilomètres qui sépare la zone de radiation de la zone de convection.
La zone de convection ou zone convective s'étend de 0.7 rayon solaire du centre
à la surface visible du Soleil. La température y passe de 2 000 000 K à 5 800 K.
C'est selon un mouvement vertical, par convection, que la chaleur est conduite
vers la photosphère.La photosphère est la surface visible du
Soleil.
C'est une partie externe de l'étoile qui produit entre autres la lumière
visible. La photosphère a une épaisseur d'environ 400 kilomètres. Sa température
moyenne est de 6 000 K. Des taches noires apparaissent à sa surface, appelé les
taches solaires (Sunspots), et sont à 3 800 K (elles apparaissent noires du fait
de leur différence de température avec les régions avoisinantes). Ces taches
solaires peuvent être très larges, jusqu'à 50 000 km de diamètre.
Source Sciences et Vie image Siences et Avenir


A quelques degrés près, toutes les planètes tournent autour du Soleil dans un
même plan, appelé « plan de l'écliptique ». À 4° près, la Lune tourne aussi
autour de la Terre dans ce même plan.
Cela se traduit de la manière suivante dans les observations : vus depuis la
Terre, Soleil, Lune et planètes se déplacent apparemment sur la voûte céleste en
suivant un même grand cercle, l'écliptique.


La Lune est née lorsque la Terre, elle-même à
peine formée, a subi une collision m
assive
avec une autre planète de la taille de Mars. Les débris éjectés par la collision
se sont ré-accumulés pour former la Lune. L'impact a aussi provoqué le
démarrage du dernier acte de la formation du noyau de la Terre. Plusieurs
dates ont été précédemment proposées pour cet événement, à partir des mesures
d'isotopes radioactifs: Les planétologues ont découvert «une relation entre le
temps auquel la collision formant la Lune s'est produite et la quantité de
matériau que la Terre a acquise après cette collision géante», explique
l'Observatoire dans un communiqué.
D'après la théorie actuelle de la naissance de la Lune, elle aurait été
formée il y a environ 4,51 milliards d'années lorsqu'un impacteur mesurant
environ un dixième de la taille de la Terre a percuté notre planète. Les
simulations suggèrent que notre satellite devrait être composé en majorité des
restes de l'impacteur, appelé Théia. Le problème, c'est que les planètes
sont souvent très différentes les unes des autres. (2015).
Le planétoïde Théia, de la taille de Mars soit 6 500 kilomètres de diamètre,
aurait donc, heurté la Terre à la vitesse de 40 000 kilomètres par heure
sous un angle oblique, détruisant l'impacteur et éjectant ce dernier ainsi
qu'une portion du manteau terrestre en orbite dans l'espace, avant de
s'agglomérer pour donner naissance à la Lune.
-** source :rentrer.fr/archives/2015/04/15/31895862.html
La lune est bien plus qu'un simple satellite pour la Terre: elle maintien
le bouclier magnétique qui nous protège des particules solaire, sans ce
bouclier, la vie n'aurait pu s'épanouir.. en effet, l'influence gravitationnelle
de la lune sur notre planète à cause de la forme aplatie de la terre et des
variations de son axe de rotation, l'orbite de notre Lune est irrégulière. Cette
distorsion engendre assez d'énergie pour maintenir les mouvements du noyau de
notre globe (terre), à l'origine du champ magnétique protecteur qui entoure la
Terre.
Source: //galaxie/etoile/systeme_solaire/terre1/lune/page_lune.htm
La lune est un endroit désolé, vide et stérile, sans air, ni végétation.
De l'eau est présente sur la Lune mais l'eau liquide ne peut persister à la
surface et la vapeur d'eau est décomposée par la lumière du Soleil, ce qui
produit de l'hydrogène.
Lune n'a aucune atmosphère. L'absence d'atmosphère sur la Lune est une raison
pour laquelle le ciel est toujours noir, car le spectre de lumière du soleil
n'est pas divisé par une atmosphère. Sur Terre la lumière du soleil est divisé
par les molécules d'air, ce qui nous donne un ciel bleu.
La Lune tourne sur elle-même (en même temps qu'elle tourne autour de la Terre)
en 29,53059 jours. C'est la révolution synodique. la Terre a tourné d'un angle
tandis que la Lune tourne autour de la Terre en effectuant autour de son axe une
rotation en sens inverse (dans un cercle, les rotations sont opposées par
rapport à l'axe de rotation) de même angle a. Pour une rotation de 1° dans un
sens, il y a une contre rotation dans l'autre sens. De ce fait, la Lune nous
présente toujours la même face.
Lorsque la Lune s’est formée, elle se situait aux alentours de 150000 Km de la
Terre. Mais le mouvement des marées l’a depuis entrainée de plus en plus loin de
la Terre : elle se situe aujourd’hui à plus de 384 000 km de nous.
Au fil des milliards d'années, la force gravitationnelle de la Lune a ralenti la
vitesse de rotation de la Terre qui à l'origine était de 6 heures, et qui
aujourd'hui est de 24 heures. Et ce ralentissement de la rotation terrestre
n'est pas terminé: dans quelques milliards d'années, la durée d'un jour
terrestre sera multipliée par cinquante.
linternaute.com/science/espace/pourquoi/06/marees/marees.shtml
-L'héliosphère-
Le champ magnétique interplanétaire, également connu sous le nom de champ
magnétique de l'héliosphère, est le champ magnétique du ... Ainsi, la
magnétosphère terrestre dévie le vent solaire.
Le Soleil émet en permanence près de 1 million de tonne de matière par seconde
dans
le
milieu interplanétaire. C’est ce que l’on appelle le vent solaire . Le vent
solaire est un plasma c’est-à-dire un gaz constitué principalement d’électron et
de protons mais également d’ions ( atomes ayant perdu un ou plusieurs électrons
) tels que He² et d’autres plus lourds. La vitesse du vent solaire lent est
d’environ 300km.s. Il varie peu en fonction du cycle solaire et ne dépend pas de
l’activité solaire. Le vent solaire rapide quant à lui est varie entre 500 et
800 km.s . Il dépend fortement du cycle et de l’activité solaire. Ce sont ses
sursauts qui pourront avoir des conséquences sur Terre.
L'héliosphère est une gigantesque bulle de gaz dont la forme et la dimension
varient
selon la rotation, le déplacement,
l'activité et le champ magnétique du Soleil. Ainsi, la rotation du Soleil sur
lui-même crée la forme spiralée de l'héliosphère et le déplacement du Soleil
crée la forme allongée de l'héliosphère.
La magnétosphère terrestre s'oppose au vent solaire . Elle nous protège contre
le vent solaire et agit comme un bouclier. La magnétosphère, qui devrait
ressembler à celle générée par un dipôle, est déformée par le vent solaire. Elle
est compressée du côté diurne alors qu'elle s'étend à de grandes distances du
côté nocturne.
Les particules du vent solaire piégées
dans le champ magnétique terrestre ont tendance à s'accumuler dans la ceinture
de Van Allen et provoquent les aurores polaires
lorsqu'elles pénètrent dans l'atmosphère terrestre à proximité des pôles.
D'autres planètes possédant un champ magnétique ont aussi leurs propres aurores
; Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune en sont des exemples. Le vent solaire est
aussi responsable de la deuxième queue des comètes. Cette queue, constituée de
plasma, est toujours dirigée à l'opposé du Soleil (comme une ombre).
Les rafales de vent solaire particulièrement énergétiques provoquées par des
éruptions solaires, des éjections de masse coronale et autres phénomènes sont
appelées tempêtes solaires. Pendant une éruption solaire, le nombre de
particules atteignant l'atmosphère terrestre est de 10 000 (à comparer à 10
particules en l'absence d'éruption). Celles-ci peuvent soumettre les sondes
spatiales et les satellites à de grandes doses de radiations ce qui va perturber
fortement la transmission des signaux électromagnétiques comme ceux de la radio
et de la télévision.
Elles peuvent générer sur Terre des courants continus sur les lignes à haute
tension de grandes longueurs, ce qui provoque des surchauffes dans les
transformateurs des postes électriques. Par exemple, en 1989 au Canada, environ
six millions de personnes desservies par Hydro-Québec se sont retrouvées sans
électricité à cause d'un orage magnétique. Elles peuvent également provoquer des
courants induits dans les pipelines ce qui accélère leur corrosion.
-Les Comètes-
.jpg)
Les comètes ont deux origines possibles:
la Ceinture de Kuiper, située au-delà de Neptune, et le Nuage d'Oort, situé
au-delà de Pluton, à des distances extrêmes du Soleil. Mais des astronomes ont
découvert durant la dernière décennie au moins 12 comètes actives, dans une
troisième région du Système solaire, la Ceinture d'astéroïdes située entre Mars
et Jupiter.
Des découvertes plutôt surprenantes. Jusqu'à présent, cette région a été
considérée principalement comme un dépotoir pour les objets célestes constitués
essentiellement de roche et de métaux que sont les astéroïdes, restes de
planètes avortées.
Il a été constaté que certains d'entre eux ne sont finalement pas des
pierres mortes, mais des comètes dormantes qui peuvent encore revenir à la vie
si l'énergie qu'elles reçoivent du Soleil augmente de quelques pour cents.
Quand elles passent relativement près de Jupiter, la plus grosse planète du
Système solaire, les comètes subissent des perturbations qui modifient leur
orbite. Cela peut diminuer la distance entre la comète et le Soleil et suffire à
la "réveiller". Selon cette interprétation, chacune des milliers des voisines
endormies. Ces comètes sont appelées "lazare" pourraient potentiellement revenir
à la vie. Ces résultats sont publiés dans une revue de la Société Royale
d'Astronomie
- Terre -
Galliléé n'avait pas les instruments voulu pour voir que la Terre n'était pas
tout a fait ronde!
On suppose qu'une activité chimique intense dans
un milieu hautement énergétique a produit une molécule capable de se reproduire,
dans un système particulier, il y a environ 4 milliards d'années. On pense que
la vie elle-même serait apparue entre 200 et 500 millions d'années plus tard.
Le développement de la photosynthèse, active depuis bien avant 3 à 3,5 milliards
d'années avant le présent, permit à la vie d'exploiter directement l'énergie du
Soleil. Celle-ci produisit de l'oxygène qui s'accumula dans l'atmosphère, à
partir d'environ 2,5 milliards d'années avant le présent, et forma la couche
d'ozone (une forme d'oxygène [O3]) dans la haute atmosphère, lorsque les niveaux
d'oxygène dépassèrent quelques pourcents. Le regroupement de petites cellules
entraîna le développement de cellules complexes appelées eucaryotes. Les
premiers organismes multicellulaires formés de cellules au sein de colonies
devinrent de plus en plus spécialisés. Aidées par l'absorption des dangereux
rayons ultraviolets par la couche d'ozone, des colonies bactériennes pourraient
avoir colonisé la surface de la Terre, dès ces époques lointaines. Les plantes
et les animaux pluricellulaires ne colonisèrent la terre ferme qu'à partir de la
fin du Cambrien (pour mousses, lichens et champignons) et pendant l'Ordovicien
(pour les premiers végétaux vasculaires et les arthropodes), le Silurien (pour
les gastéropodes ?) et le Dévonien (pour les vertébrés)[réf. nécessaire].
Depuis les années 1960, il a été proposé une hypothèse selon laquelle une ou
plusieurs séries de glaciations globales eurent lieu il y a 750 à 580 millions
d'années, pendant le Néoprotérozoïque, et qui couvrirent la planète d'une couche
de glace. Cette hypothèse a été nommée Snowball Earth (« Terre boule de neige
»), et est d'un intérêt particulier parce qu'elle précède l'explosion
cambrienne, quand des formes de vies multicellulaires commencèrent à proliférer.
À la suite de l'explosion cambrienne, il y a environ 535 millions d'années, cinq
extinctions massives se produisirent. La dernière extinction majeure date de 66
millions d'années, quand une météorite est entrée en collision avec la Terre,
exterminant les dinosaures et d'autres grands reptiles, épargnant de plus petits
animaux comme les mammifères, les oiseaux, ou encore les lézards.
Dans les 66 millions d'années qui se sont écoulées depuis, les mammifères se
sont diversifiés, le genre humain (Homo) s'étant développé depuis deux millions
d'années. Des changements périodiques à long terme de l'orbite de la Terre,
causés par l'influence gravitationnelle des autres astres, sont probablement une
des causes des glaciations qui ont plus que doublé les zones polaires de la
planète, périodiquement dans les derniers millions d'années[réf. nécessaire].
À l'issue de la dernière glaciation, le développement de l'agriculture et,
ensuite, des civilisations, permit aux humains de modifier la surface de la
Terre dans une courte période de temps, comme aucune autre espèce avant eux,
affectant la nature tout comme les autres formes de vie.
L'histoire de la
terre et de la vie...
Résumer l'histoire de la vie sur la Terre en une page est impossible... En 4,5
milliard d'années, des millions d'espèces sont apparues, se sont développées et
ont finalement disparu. Et nous ne pouvons parler que des espèces animales ou
végétales dont nous avons découvert des fossiles ou des traces ! Même
aujourd'hui les scientifiques identifient et décrivent plus de 15 000 espèces
par an... Parmi ce foisonnement, l'homme, ou Homo sapiens, n'apparaît finalement
que récemment, il y a 200 000 ans. Si l'homme n'est qu'une seule des espèces sur
les 8,7 millions d'espèces vivantes peuplant la Terre, c'est la seule dont les
dégâts et les conséquences constituent un risque réel pour la planète et pour la
vie.
Source :/www.hominides.com/html/chronologie/chronoterre.php
Les
cyanobactéries sont peut-être apparues il y a 3,5 milliards d'années.
Capables de réaliser la photosynthèse, elles ont transformé du dioxyde de
carbone en dioxygène. C'est en partie grâce à elles que la vie a pu émerger en
dehors des océans. © elapied, Wikipédia, cc by sa 3.0
Pour résumer, il existe de nombreux scénarios pour expliquer l'origine de la
vie, preuve que la question est bien loin d'être résolue. D'ailleurs,
connaîtra-t-on un jour le fin mot de l'histoire ?
Mais qu'y avait-il avant ? Ces bactéries sont-elles apparues spontanément sur
Terre ou bien sont-elles nées de l'association de divers éléments organiques ?
Dans ce cas, d'où viendraient les briques du vivant : des conditions de vie sur
Terre ou de l'espace, comme le pensent certains ? Le débat reste ouvert et
chaque théorie dispose de ses arguments.
Source FUTURA Science (santé)
-Rien cependant n'atteste que cela s'est réellement produit
sur Terre et des doutes persistent quant à la possibilité que ces êtres vivants
pionniers aient pu résister à l’entrée de la météorite dans l’atmosphère
terrestre.
Dessous -Source de Éric Postaire -copie exacte-
Conseiller des Secrétaires perpétuels de l’Académie des sciences, membre
correspondant de l’Académie nationale de pharmacie.
-Deux axes ont été retenus pour l’organisation des interventions et des débats
autour des Hypothèses sur les origines de la vie.
De la chimie avant la vie aux premières cellules - L’invention des acteurs
chimiques de la vie.
.jpg)
À la suite du "big-bang", qui s’est produit, les éléments de l’univers se sont
créés progressivement, dans l’ordre du tableau périodique des éléments de
Mendeleïev.
Les molécules sont ensuite apparues et, à un moment donné de leur
complexification, se seraient regroupées dans un espace clos, limité par une
membrane cellulaire formée d’une double couche de molécules lipidiques. C’est au
cours de cette période que sont apparus les protéines et les acides nucléiques :
savoir comment ces deux macromolécules ont été recrutées constitue aujourd’hui
le défi le plus important pour comprendre les origines de la vie. Par la suite,
s’est mise en route une lente construction de la première cellule, jusqu’au «
déclic » qui a permis son émancipation :
par quels mécanismes? L'évolution 150 ans après Darwin - Des cataclysmes dans
l'apparition et la disparition de la vie.
Plusieurs grands événements ont rythmé l’évolution. Le premier est l’apparition,
il y a 2 milliards d’années, de bactéries unicellulaires dotées d’un appareil
photosynthétique analogue à celui que l’on connaît chez les plantes supérieures.
Le second, encore mal connu mais d’une importance exceptionnelle, est
l’apparition des eucaryotes à partir du monde des procaryotes. Le troisième,
quant à lui, est intervenu il y a 850 millions d’années, soit bien après
l’apparition de la cellule procaryote : il s’agit de la naissance d’une cellule
issue d’une nouvelle symbiose entre deux types cellulaires. Enfin, le dernier
événement est une endosymbiose supplémentaire entre une cellule eucaryote
hautement différenciée,
renfermant des mitochondries, et une cyanophycée, capable d’assumer la totalité
de la photosynthèse.
La vie est très fragile. Soumise aux aléas environnementaux d’ordre climatique,
tectonique et météorique, qui ont parfois débouché sur l’éradication totale de
nombreuses espèces, elle ne tient qu’à un fil. Pour autant, la vie est repartie
à chaque fois, se complexifiant davantage à partir des espèces, souvent de
petite taille, qui ont survécu.
Et demain ?